Vérités Mégalithes 4

 

Le code de Snefrou Châpitre 8    

 

Voici un document surprenant issu des recherches de GABRIELLE VENTURI sur le code de la stèle de Snefrou.Des études poussées l’ont amené à déduire de cette stèle toute une codification cosmique de l’ensemble de constructions pyramidales et des œuvres hiéroglyphiques .Nous reviendrons sur ce sujet.

Mais prenons le temps de lire ce qu’il nous révèle dans le document la pierre d’ALATRI.

D’abord pour ne pas perdre le fil ALATRI c’est quoi ? C’est une ville en Italie ou on peut observer des murailles pré romaines dont la datation est difficile mais on pense que cela remonte aux plus anciens temps.

Voyons donc ce que les italiens archéologues non officiels nous disent sur cette muraille

 

https://www.youtube.com/watch?v=mIzUHeT4C6U

ALATRI, LE PIETRE POLIGONALI FURONO FORMATE E MONTATE ALLO STATO LIQUIDO

 

A ALATRI, les PIERRES polygonales ont été formées et montées à l'état liquide

La vidéo montre sans équivoque qu’à la forteresse polygonale d’Alatri les inters verrouillages miraculeux entre les blocs n'ont pas été faits, comme nous l'avons toujours cru. Les constructeurs mystérieux avaient une façon de liquéfier la pierre et de l'utiliser comme nous utilisons aujourd'hui  du mortier. La preuve concluante de cette déclaration est que, dans certains joints de la paroi interne on peut  clairement observer entre la pierre supérieure et inférieure, dans certains points, aucune ligne de couture, mais un état de matériaux de roche continu d'une roche à l'autre  sans aucune preuve d'une solution de continuité entre les deux. Conclusion : la pierre à l'état liquide a été activée chimiquement  dans certains points de fusion  déjà solidifiés, créant des points où le matériau  des deux mégalithes est solidifié directement, sans même les coutures presque microscopiques que vous pouvez encore observer au niveau des joints où la pierre n'a pas été endommagée par l'érosion

http://www.thesnefrucode.com/le-code-de-snefrou-partie-8/

 

Voici le lien vers une des  pages du code de Séfrou .C’est celle qui nous intéresse aujourd’hui. Prenez le temps de lire .C’est une pépite de révélations sur ce que l’histoire officielle ne veut pas voir, ou cherche à nous cacher.

La superposition de constructions d’âge et de technologies différents dans les principaux monuments mégalithiques.

Les connaissances très avancées en astronomie par des civilisations ayant parcouru la terre il y  a au moins 10000ans A JC.

La colonisation de l’Amérique bien avant ce que prétend l’histoire officielle non pas 10000 ans mis bien avant.

 

…..et bien d’autres choses.

Bonne lecture

 

 

Sommaire du document et quelques extraits sélectionnés.

 

 

PREMIÈRE PARTIE : Problèmes d’herméneutique historique associés à la datation des restes archéologiques

 

….. Ainsi, le sens de l’homme dans l’univers et dans l’histoire va bien au-delà des limites étroites imposées par l’évolutionnisme. Au contraire. L’évolutionnisme même se révèle finalement comme une idée enfantine et pré-critique de l’Occident, qui est encore à ses débuts de la compréhension du passé profond de l’humanité et donc aussi de ses propres origines – et de son propre destin….

DEUXIÈME PARTIE : Le test du carbone 14 et les problèmes gnoséologiques associés à son application

 

 ……….Nous avons une situation similaire aussi en Cuzco, Sacsaywaman, Macchu Picchu, et en bien d’autres places précolombiennes. Ces sont des cas, où même un œil non expérimenté peut immédiatement remarquer une importante discontinuité technique et stylistique entre les structures construites par les Incas et celles dont les Incas – interrogés par les conquistadores – vigoureusement rejetaient la paternité, en disant que « bien sûr » elles avaient été fabriquées par les dieux en époques lointaines….. Peut-être c’est pourquoi l’archéologie académique, puisqu’elle n’a pas d’autres candidats, a jugé bon d’attribuer même les gigantesques monuments aux Incas, sans trop se soucier pour justifier le fait qu’eux-mêmes en refusent la paternité…………

 

……………..Vraiment la question est de savoir comment on peut raisonnablement croire que les constructeurs des murs qui se superposent aux murs inférieurs et/ou les englobent peuvent être les mêmes qui ont construit ces derniers…………... 

…………C’est pourquoi l’archéologie officielle – en base de l’autorité morale qui sans aucun autre fondement découle du caractère officiel de ses affirmations – soutient tranquillement que, par exemple, ce gigantesque bloc de granit rose de Ollantaytambo, que l’on peut voir dans la première rangée de photos à droite, pesant plusieurs dizaines de tonnes, travaillé de manière très fine, a été mis en place par les mêmes personnes qui l’ont utilisé pour y appuyer d’une façon approximative des pierres brutes ou travaillées tant bien que mal……………

 

…………Mais la culture académique, dans des cas comme celui-ci, a tendance à abandonner le bon sens commun pour sauvegarder son propre sens historique-archéologique……………

 

………… En fait, la seule structure qui a fourni un point d’appui à une tentative de datation est celle de Tiahuanaco. Ici, au moyen de l’archéoastronomie, on est arrivé à penser que cette ville avait été construite autour de 13.000 av. J.C., parce qu’on a découvert que l’alignement du temple aux solstices – qui aujourd’hui est, bien que légèrement, inexact – était juste à ce moment du cycle de précession.

 

 …………Ce sera la preuve empirique indiscutable d’une observation qui nous va obliger à revoir nos dogmes, nos idées fixes, nos habitudes de pensée obsolètes. Des murs cyclopéens de l’Enceinte d’Alatri, si injustement laissés de côté comme un monument plutôt insignifiant d’époque romaine, nous viendra la preuve indubitable que les connaissances chimiques de ces gens se trouvaient plusieurs étapes en avant à l’égard des nôtres (au moins dans certains secteurs)…………….

 

TROISIÈME PARTIE : Une possible datation de l’ « Enceinte d’Alatri » basée sur la comparaison stylistique avec d’autres cultures méditerranéennes

 

QUATRIÈME PARTIE : Deux découvertes archéologiques qui permettent de supposer la dérivation de l’Enceinte d’Alatri de la culture de l’Ancienne Égypte

 

CINQUIÈME PARTIE : La possible connexion entre les techniques utilisées dans l’Ancienne Égypte et celles de la zone d’Alatri